
Créer une entreprise en Espagne
L’Espagne offre non seulement un cadre de vie agréable mais également une meilleure qualité de vie. En effet, en période de crise, tout est moins cher ! L’Espagne représente aujourd’hui pour les investisseurs étrangers un marché d’opportunités.
Création d’entreprise en Espagne : quelles sont les démarches, où se rendre, à qui s’adresser ?
Si vous souhaitez créer une entreprise en Espagne, il vous faudra alors réaliser certaines démarches auprès de l’administration fiscale espagnole : solliciter votre NIE, ouvrir un compte bancaire espagnol, solliciter un numéro de TVA intracommunautaire mais également créer votre entreprise devant notaire et domicilier votre société en Espagne.
Quel statut juridique pour sa société espagnole : SA, SL ou auto-entrepreneur ?
N’hésitez pas à visionner notre vidéo dans laquelle notre expert en création d’entreprise vous présente les différents statuts juridiques en Espagne ainsi que leurs différentes caractéristiques.
Solliciter un NIE espagnol est-il nécessaire pour créer une entreprise en Espagne ?
Le NIE est un numéro d’identification pour les étrangers en Espagne. Il est obligatoire pour pouvoir travailler en Espagne, créer une entreprise en Espagne, ouvrir un compte bancaire espagnol, acheter un bien immobilier sur le sol espagnol et pour bien d’autres démarches administratives.
Domicilier son entreprise en Espagne : domicile fiscal et domicile social
Si vous voulez créer une entreprise en Espagne, sachez que lors de la signature des actes chez le notaire vous seront demandés un domicile fiscal ainsi qu’un domicile social pour votre société espagnole. La déclaration de la domiciliation fiscale et de la domiciliation sociale d’une société est obligatoire afin de pouvoir procéder à l’enregistrement de cette dernière au Registre du Commerce.
Si vous décidez de domicilier votre société en Espagne, sachez que la fiscalité espagnole est très avantageuse pour les entrepreneurs notamment avec un impôt sur les sociétés à 15%, le remboursement de 100% des cotisations à la Sécurité Sociale ainsi que des charges salariales et patronales moins élevées qu’en France.